- Ce sujet contient 18 réponses, 10 participants et a été mis à jour pour la dernière fois par
, le il y a 4 années et 8 mois.
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il y a 4 années et 8 moisBonjour à tous,
J’ai acheté un cerificateur solaire d’occasion fait maison.
Il y a bien de la cire qui coule dans le moule en bas, mais il reste toujours beaucoup de reste de cire
dans le haut je trouve !
Heu c ‘est normale ?
Merci pour vos réponses
Wil il y a 4 années et 8 moisBonjour
Il y a deux cas : la fonte de la cire des opercules et celle des cadres de corps.1) Cire provenant des opercules : je presse d’abord la cire des opercules, puis je la découpe en morceaux et je la pose sur la plaque par une journée où le soleil brille. Je mets un centimètre d’eau dans le bac de récupération. J’oriente le verre du cérificateur vers les rayons du soleil. En un après-midi chez moi, c’est fondu et je vide le bac le lendemain matin. Dans mon cérificateur, une opération suffit pour les opercules de dix hausses, peut-être quinze. Il ne reste pratiquement rien en déchets, je gratte juste la plaque.
2) Cire provenant des cadres de corps : je les mets tels quels par deux, et quand ça se détache des fils de fer, j’enlève les cadres et je rajoute deux autres cadres ; en renouvelant l’opération, par journée de soleil, j’en passe douze. Je récolte à peu près 70 g de cire par cadre, et les déchets sont énormes. La plaque est recouverte d’un magmas noir d’une quinzaine de centimètres que je jette.
Mon cérificateur a été acheté vers 2005, car l’ancien, fabriqué par mon grand-père avant la guerre, a servi vaillamment jusqu’en 2004 avant de capituler sous les roues d’un tracteur.
Pour un cérificateur solaire, la température extérieure ne suffit pas. Il faut vraiment que le soleil ne soit pas obscurci par des nuages, car dans ce cas, la température à l’intérieur de l’appareil ne monte pas à plus de 65°. Les journées où il a fait 36°en juillet ne m’ont servi à rien pour fondre pour cette raison. Les journées de possibilité d’utilisation furent assez restreintes cette année, du moins chez moi. (deux journées en juillet pour mes cadres de corps). J’attends une journée sans nuages pour fondre celle des opercules que je viens de passer à la presse.
il y a 4 années et 8 moisPaix à son âme ,(au cérificateur )
il y a 4 années et 8 moisBonjour,
Dans les cadres qui ont servis à l’élevage, la cire est “renforcée” par un feutre de cocons et “enrichie” des déchets produits par les larves.
Lors de la fonte, une grande partie de la cire reste piégée avec ces déchets.
il y a 4 années et 8 moisBonsoir,
Bin voilà, j’vais encore faire mon rabat-joie, mais le cerificateur solaire, c’est pas un truc de pro !
Comme son nom l’indique, ça ne fonctionne QUE si il y a du soleil, très faible capacité, S’il fait vraiment chaud, on peut encore le recharger dans la journée mais attention aux brulures, pareil pour récupérer la cire, s’il fait chaud c’est liquide, et froid tout est collé.
Mais je dois reconnaitre que c’est une expérience enrichissante, on se sent responsable de préserver la planète, pas d’énergie fossile, que du soleil !
@+ il y a 4 années et 8 moisA zaya
Tu n’es pas du tout rabat joie !
Ça n’est effectivement pas un truc de pro ….c’est pour les autres ! il y a 4 années et 8 moisbonsoir,
Quelqu’un a-t-il tenté de concentré un peu les rayons solaires avec des plaques réfléchissantes (principe ,du four solaire) pour booster l’efficacité? il y a 4 années et 8 moisSi si zaya, y en a un model pour toi… le pro…
il y a 4 années et 8 moisBonsoir,
Oui, merci, je connaissais, mais je me vois mal le faire tourner en cours de journée pour suivre le soleil!
Je remplace les cadres de corps au début du printemps, avant que les colonies ne redémarrent, mais il n’y a pas de soleil, donc ça obligerait à stocker les cadres jusqu’à l’été ?
Non, vraiment sans moi !
Mais bon, chacun est libre…..
@+ il y a 4 années et 8 moisBonjour
Pour répondre au post initial de Wil, les opérations en photo :
La cire dans le pressoir : 3,800 kg provenant de 106 cadres operculés à 95 %
Hier, temprérature extérieure de 29°, soleil sans nuage à partir de 11 h.
Découpage vite fait en morceaux sinon, la fonte est beaucoup plus longue.La situation vers 15 h
Réponse pour Wil : les saletés noires pèsent 220 g ; il y a aussi un bon kilo de miel qui se trouve au fond du bac et qui ne vaut rien.La situation, le lendemain matin
Le bloc de cire : 1,4 kg. Surtout ne pas oublier de mettre un bon centimètre d’eau au fond du bac. sinon c’est la galère pour sortir le bloc. Sous le bloc, des saletés noires que je racle avec le lève-cadres.
Le bloc rejoint ses frères des années précédentes et commence à prendre la poussière.
il y a 4 années et 8 moisTu ne mets pas de grille à reine Jean Paul ?
il y a 4 années et 8 moisBonsoir,
Bin voilà, j’vais encore faire mon rabat-joie, mais le cerificateur solaire, c’est pas un truc de pro !
Comme son nom l’indique, ça ne fonctionne QUE si il y a du soleil, très faible capacité, S’il fait vraiment chaud, on peut encore le recharger dans la journée mais attention aux brulures, pareil pour récupérer la cire, s’il fait chaud c’est liquide, et froid tout est collé.
Mais je dois reconnaitre que c’est une expérience enrichissante, on se sent responsable de préserver la planète, pas d’énergie fossile, que du soleil !
@+Bonjour
Je souscris bien volontiers à ce que dit Zaya26740. L’appareil ne fonctionne qu’avec le soleil sans nuages. Chez moi, cette année, seulement deux journées en juillet et trois heures pour le moment en août. Il ne faut pas songer à ouvrir pour manipuler le bac qui mesure soixante centimètres de long car le ballant fait que la cire se déverse un peu partout et se fige très rapidement ; les risques de brûlures sont importants. Tout est bouillant ; je n’ai pas mesuré, mais facilement 70°. Donc, je ne fais qu’un bac dans la journée, ce qui, somme toute, me convient puisque cela correspond à la production de mes dix ruches. Dans la journée, il faut tourner la machine vers le soleil.
Le cérificateur m’a coûté environ 350,00 euros. Ma production de cire est d’environ cinq kilos par an, en comptant la fonte d’une vingtaine de cadres. J’ai essayé de la vendre à celui qui me vend la cire gaufrée et quand j’ai vu un prix d’achat de 3,60 euros le kilo, je suis reparti avec. Les blocs s’entassent chez moi et prennent la poussière, encore que, le plus rarement possible, j’en ai eu donné. Donc le bilan financier est pitoyable. 3,60 X 5 = 18,00 euros par an à rapprocher du prix d’achat. Il me faut vingt ans pour amortir, même si je m’en sers pour sécher parfois des pruneaux d’Agen. Je me demande s’il ne serait pas plus avantageux de mettre au feu mes vingt cadres de corps annuels que j’y passe et abandonner la cire des opercules au pillage. L’appareil lui-même est lourd à mettre en place.
Aors me direz-vous, pourquoi faire tout ça : tout simplement parce que je l’ai toujours fait, que mes parents et grands-parents le faisaient. L’appareil marche bien. J’en ai toujours eu dans ma famille. Le plus ancien plan que j’ai trouvé est dans le livre de Bertand sur les abeilles et avait servi de modèle à mes grands-parents pour en fabriquer un. il y a 4 années et 8 moisA jean Paul
3.6€ c’est le prix que l’on paie en général en échange d’un kilo de cire gaufrée
N’aurais tu pas mal compris le tarif ? Sans vouloir charier bien-sûr … il y a 4 années et 8 moisBonjour
Je ne mets pas toujours des grilles à reine.
Pour le prix de la cire, j’ai peut-être mal compris ; en fait, quand je l’ai apportée (trois kilos environ), je n’ai pas acheté de la cire gaufrée, mais des pots et je me rappelle d’une réduction de dix euros environ pour de la cire d’opercules. Et donc, je suis reparti avec, surtout après avoir vu des apiculteurs amener des énormes blocs que j’aurais eu du mal à déplacer. J’étais pitoyable avec ma production annuelle de deux petits pains pour trois kilos. il y a 4 années et 8 moisBonsoir,
Bin voilà, j’vais encore faire mon rabat-joie, mais le cerificateur solaire, c’est pas un truc de pro !
Comme son nom l’indique, ça ne fonctionne QUE si il y a du soleil, très faible capacité, S’il fait vraiment chaud, on peut encore le recharger dans la journée mais attention aux brulures, pareil pour récupérer la cire, s’il fait chaud c’est liquide, et froid tout est collé.
Mais je dois reconnaitre que c’est une expérience enrichissante, on se sent responsable de préserver la planète, pas d’énergie fossile, que du soleil !
@+Bonjour
Je souscris bien volontiers à ce que dit Zaya26740. L’appareil ne fonctionne qu’avec le soleil sans nuages. Chez moi, cette année, seulement deux journées en juillet et trois heures pour le moment en août. Il ne faut pas songer à ouvrir pour manipuler le bac qui mesure soixante centimètres de long car le ballant fait que la cire se déverse un peu partout et se fige très rapidement ; les risques de brûlures sont importants. Tout est bouillant ; je n’ai pas mesuré, mais facilement 70°. Donc, je ne fais qu’un bac dans la journée, ce qui, somme toute, me convient puisque cela correspond à la production de mes dix ruches. Dans la journée, il faut tourner la machine vers le soleil.
Le cérificateur m’a coûté environ 350,00 euros. Ma production de cire est d’environ cinq kilos par an, en comptant la fonte d’une vingtaine de cadres. J’ai essayé de la vendre à celui qui me vend la cire gaufrée et quand j’ai vu un prix d’achat de 3,60 euros le kilo, je suis reparti avec. Les blocs s’entassent chez moi et prennent la poussière, encore que, le plus rarement possible, j’en ai eu donné. Donc le bilan financier est pitoyable. 3,60 X 5 = 18,00 euros par an à rapprocher du prix d’achat. Il me faut vingt ans pour amortir, même si je m’en sers pour sécher parfois des pruneaux d’Agen. Je me demande s’il ne serait pas plus avantageux de mettre au feu mes vingt cadres de corps annuels que j’y passe et abandonner la cire des opercules au pillage. L’appareil lui-même est lourd à mettre en place.
Aors me direz-vous, pourquoi faire tout ça : tout simplement parce que je l’ai toujours fait, que mes parents et grands-parents le faisaient. L’appareil marche bien. J’en ai toujours eu dans ma famille. Le plus ancien plan que j’ai trouvé est dans le livre de Bertand sur les abeilles et avait servi de modèle à mes grands-parents pour en fabriquer un.Bonjour,
+100 000 avec Jean-Paul31 !
Je peux aussi parler de mes grands parents, qui n’avaient pas l’électricité dans leur ferme de l’Ardèche ! Alors oui, à l’époque, le cérificateur solaire avait une grande valeur, de part son autonomie !
Mais de nos jours, la fée électricité, un générateur de vapeur avec une chaudière inox, et roule ma poule !
Et le cérificateur ? Bin………………………….sur l’bon coincoin !
@+ il y a 4 années et 8 mois@ J Paul
Oui, je pense qu’il y a eu erreur sur le prix de la cire .
Moi, je me sers chez Apicop et quand je ramène de la cire en échange le kg de cire gaufrée me revient à 4 ou 5 euros(je ne sais pas précisément) . Mais ça vaut quand même le coup de faire l’échange il y a 4 années et 8 moisBonjour et merci à tous pour vos réponses :D
Le pressoir de Jean Paul il sert à quoi ?
Car moi je mets les cadres entiers dans le cerificateur, c’est peut être la mon erreur, non ?Merci
Wil il y a 4 années et 8 moisBonjour
La presse est destinée à finir de sortir le miel de la cire d’opercules (des cadres des hausses dont je viens de sortir le miel). Évidemment, tu peux mettre la cire sans la passer dans le pressoir, mais il faut n’en mettre que la moitié car le miel se met au fond du bac, ce qui ne pose aucun problème (la cire surnageant) ; par contre, si on en met trop, ça déborde. Comme je ne veux faire qu’une fournée, autant que faire se peut, je procède avec la presse. Pour les cadres des corps de ruches, je les mets entier dans le cérificateur et là, en effet, il y a beaucoup de restes noirs bons à jeter. il y a 4 années et 8 moisJean Paul
Le prix du commerce c’est 7 à 7,50 à moins de 100 bornes de chez toi.
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