Oui, c'est là tout le problème de la Belgique et de la France, si on compare les méthodes de travail avec l'Allemagne, par exemple, et ce problème se nomme : amateurisme.
Chacun avance dans son coin, quelques-uns ont la science infuse, d'autres une vraie connaissance mal diffusée, nous souffrons d'un manque total de centralisation quant à l'information et sa diffusion par un organisme accepté et reconnu de tous.
Nos voisins allemands ont
des instituts de recherche qui bossent vraiment,
des apiculteurs reconnus et ACTIFS pour la communauté (bien que je n'ai pas d'affection particulière pour le terme de communauté)et
à l'international, des méthodes d'élevage, de sélection, de protection et d'écoute
reconnues et acceptées de tous apiculteurs sérieux.
La France et le sud Belgique forment un immense territoire francophone qui bénificierait d'une approche similaire.
Notre seul problème, c'est nous débarrasser de notre goût trop prononcé pour l'indépendance ou pour l'impression qu'on vueille y toucher.
Car en effet, en qui et en quoi avoir confiance ? Ce n'est pas dans notre culture et les farfadets se mêlent aux gens de terrain et d'expérience sans qu'on puisse les distinguer les uns des autres.
Ainsi, pour le frelon en question, pour les territoires qui vont être colonisés, chacun sera livré à lui-même, comme d'habitude.